Dans son rapport de 1997, l’OMS souligne que l’état des connaissances n’a pas progressé depuis son précédent rapport en 1981 : le syndrome amotivationnel n’a toujours pas été clairement défini, ses effets ne sont toujours pas clairement distingués des effets de l’intoxication elle-même, et les données disponibles proviennent de rapports de cas cliniques sans groupe contrôle.[62]
In its 1997 report, the WHO pointed out that our knowledge has not advanced since its previous report in 1981: the amotivational syndrome has still not been clearly defined, its effects have still not been clearly distinguished from the effects of intoxication itself, and the data available comes from clinical case reports with no control group.[62]