L'AIAMC estime que la solution retenue n'était pas la bonne et que le maintien de droits de 6,1 p. 100 sur les véhicules importés constitue une erreur à l'heure actuelle, surtout si l'on tient compte des négociations commerciales qui sont en cours et qui en sont rendues à différentes étapes entre le Canada et l'Union européenne, le Japon et la Corée, tous ces partenaires étant des producteurs d'automobiles.
The AIAMC believes that that was the wrong action, and the continued maintenance of the 6.1 per cent on imported vehicles is the wrong action now, especially when one considers that Canada is currently engaged at different stages of trade negotiations with the EU, Japan and Korea, all auto-producing nations.