Ce principe, consacré par la loi de 1994 qui remaniait la législation sur les pensions, le projetde loi C-68, dit que, lorsque les preuves médicales sont presque suffisantes pour étayer une demande, mais qu'il y a quelques lacunes, le bénéfice du doute doit toujours être accordé à l'ancien combattant, dont le témoignage doit être accepté.
This concept was enshrined in the 1994 pension redesign legislation, Bill C-68, and provided that, in any case where adequate supporting evidence of medical testimony is close to approval but slightly lacking in some way, the benefit of the doubt would always be given to the veteran, and the veteran's testimony regarded as fact.