Il décrit ce que nous vivons maintenant comme la montée de la féodalité corporative —cosmo-corporative—globale, où les entreprises s'efforcent de contourner les lois des États nations et les groupes d'États nations, comme les Nations Unies, pour tous nous rabaisser au plus faible dénominateur commun sur les plans des normes de travail, de l'environnement et des droits de la personne.
He describes what we're suffering now as the rise of global corporate—cosmo-corporate—feudalism, which is an end-run by business around the laws of the nation states and the groups of nation states, like the United Nations, to lower us all to the lowest common denominators of labour standards, environmental standards, and human rights.