Le mercure pénètre également dans l’environnement par le biais de « rejets accidentels », par exemple ceux des centrales électriques qui utilisent un charbon contenant du mercure ou suivant d’autres procédés industriels[16]. Selon une étude récente des Nations Unies, 50 à 80 % du mercure en circulation dans les écosystèmes terrestres provient l’activité humaine, le reste étant issu des émissions naturelles[17].
Mercury also enters the environment through “incidental releases” such as when coal, which contains mercury, is burned to generate electricity or is used in another industrial process.[16] A recent UN study estimated that, between 50% and 80% of the mercury cycling through Earth’s ecosystems today comes from anthropogenic sources, while natural sources account for the rest.[17]