Vous persistez, vous signez,
comme si rien ne s’était passé. Mieux encore, en dignes émules du triste Lyssenko, vous cherchez des coupables sur qui faire reposer la responsabilité de l’échec. Tels des conventionnels enragés, vous souhaitez que des têtes tombent. Mais regardez sereinement les choses en f
ace et voyez que la cause de ce fiasco n’est ni la présidence italienne, dont je salue au passage l’excellent travail, ni l’attitude de certains États membres, qui, comme l’exigeaient leurs peuples, ont courageusement défendu leurs inté
...[+++]rêts nationaux, mais tout simplement votre Convention et son rocambolesque projet de Constitution.