En 1991, la Commission royale sur la réforme électorale et le financement des partis, connue alors sous le nom de commission Lortie, a reçu de la part des témoins qui ont participé à ses audiences des messages forts selon lesquels certains Canadiens de l'Ouest estimaient que leur vote comptait beaucoup moins que celui des Canadiens de l'Est.
In 1991, the Royal Commission on Electoral Reform and Party Financing, which was then known as the Lortie commission, received strong messages from witnesses at its hearings that some western Canadians were of the view that their votes counted for far less than those of Eastern Canadians.