Ironiquement, cette approche majorité-minorité a reçu la sanction parlementaire lorsque le premier ministre, qui hésite fort à utiliser un vocabulaire associé au nationalisme québécois, a lui-même proposé à la Chambre des communes, moins d'un mois après le référendum d'octobre 1995: «[.] que la Chambre reconnaisse que le Québec forme, au sein du Canada, une société distincte».
Ironically, this majority-minority approach was given parliamentary sanction when the Prime Minister himself, one who cringes at using a vocabulary associated with Quebec nationalism, moved in the House of Commons less than one month after the October 1995 referendum that " .the House recognize that Quebec is a distinct society within Canada" .