À moins que d’autres pays membres de l’OTAN ne soient disposés à remplir le grand vide que laisserait le Canada à Kandahar, ce qui semble improbable, ce territoire vital – et j’insiste sur ce qualificatif de vital – serait perdu, ce qui pourrait avoir des conséquences militaires, politiques et psychologiques très graves.
Unless other NATO nations were willing to move in to Kandahar to fill in this large void left by Canada, which seems unlikely, that vital ground—and that term is important, it is vital ground—would be lost, with military, political, and psychological consequences that could be very severe indeed.