L'étude fédérale sur les itinérants à Toronto - qui pourraient tous être considérés comme des pauvres, quelque soit la définition qu'on en donne - révèlent que 35 % d'entre eux souffrent de troubles mentaux, 28 % sont des jeunes qui ont quitté leur famille et dont 70 % ont été victimes de violence physique ou sexuelle, 12 % sont des femmes maltraitées et les autres 10 % sont itinérants pour diverses raisons.
The federally funded study on the homeless in Toronto, all of whom would qualify under any definition of poverty include: 35% who suffer from mental illness, 28% are youth alienated from their families of which 70% have experienced physical or sexual abuse, 15% are aboriginals off reserve, 12% are abused women, and the remaining 10% are for a variety of causes.