Face
à l'escalade de la violence perpétrée contre des
manifestants pacifiques, l'Union européenne a introduit, en mai dernier, des sanctions ciblées comprenant, notamment, un embargo sur les armes et les équipements utilisés pour la répression, un gel des avoirs et une interdiction d'entrer sur le territoire de l'Union, à l'en
contre des personnes ayant participé de près ou de loin à la répression (dont Bashar al-Assad lui-même), ainsi que la suspension des programmes de coopération bilatérale (y compris les nouvelles opérations de la
...[+++]BEI).