Au vu des crédits qui ont pu être engagés sur les premiers mois de l'année 2000, on peut s'interroger sur la capacité réelle d'absorption par le Kosovo des 350 millions prévus pour 2001, mais surtout, la victoire du président serbe nous oblige désormais à reconnaître Belgrade comme seul interlocuteur pour toute décision, pour toute intervention, comme pour tout acheminement de l'aide à travers les provinces de la République fédérale de Yougoslavie.
In view of the appropriations which could have been committed for the
first months of the year 2000, questions can be asked as to Kosovo’s real capacity to absorb the EUR 350 million planned for 2001. Most o
f all, however, the victory of the Serbian President forces us henceforth to recognise Belgrade as sole discuss
ion partner for all decisions, all intervention, and all routing of aid via the provinces of the Federal Republic of
...[+++]Yugoslavia.