Autrement dit, non seulement une personne qui vend une arme à feu sans s'être assurée que l'acheteur avait un permis commet une infraction grave en vendant illégalement cette arme, mais, aux termes du projet de loi C-260, si l'acheteur commet un meurtre, le vendeur serait également tenu responsable de ce meurtre en tant que complice même s'il ne savait rien des intentions meurtrières de l'acheteur.
In other words, a person who does not check for a firearms licence before selling the firearm would not only commit a serious office of illegal transfer but if the buyer commits a murder Bill C-260 would make the seller liable for the murder or murders as an accomplice, even though the seller knew nothing of the purchaser's murderous intentions.