En 1991, à l'occasion du quarantième anniversaire de la convention de Genève relative au statut des réfugiés, M. Michel Mousalli, à l'époque chef du service compétent en matière de protection juridique internationale auprès du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés - a dressé sobrement le bilan de la situation, en constatant qu'il n'y avait pas de motifs de faire la fête.
In 1991, on the 40th anniversary of the Geneva convention on refugees, Michel Mousalli, the then head of the international legal protection department with the UN Commissioner for Refugees, gave the sober verdict: 'there is nothing to celebrate'.