En 2005, deux ans plus tard, dans l'affaire Nystrom, la Cour d'appel de la cour martiale suggéra à son tour au ministère de la Défense nationale que le pouvoir du directeur des poursuites militaires de choisir le type de cour martiale pouvait violer le droit constitutionnel d'un accusé de présenter une défense adéquate, droit prévu à l'article 7 et au paragraphe 11d) de la Charte canadienne des droits et libertés.
In 2005, two years later, the Court Martial Appeal Court also suggested to the Department of National Defence in Nystrom that the Director of Military Prosecutions' power to choose the type of court martial may violate the constitutional right of the accused to put forward an adequate defence, a right set out in section 7 and subsection 11(d) of the Canadian Charter of Rights and Freedoms.