Au sujet de nos trois piliers, à savoir la sécurité, la prospérité, et les valeurs et la culture, j'estime que c'est le troisième qui pose le plus de problèmes, qui est le plus sacrifiable et qui est, en bout de ligne, le plus remplaçable. En fait, ce troisième pilier, lorsqu'il s'applique au contexte de la politique étrangère, ne désigne pas autre chose que les efforts déployés pour promouvoir les valeurs canadiennes.
On the question of our three pillars security, prosperity, and values in culture I would suggest that the third pillar, which operationalized in the foreign policy context can only mean the effort to spread Canadian values, is the most problematic, expendable, and ultimately replaceable.