Mme Tremblay: Comment le premier ministre peut-il ne pas être gêné qu'ici même à Ottawa, la capitale fédérale, une fois sur trois, les francophones sont incapables d'être servis dans leur langue, et ce 26 ans après l'adoption de la Loi sur les langues officielles?
Mrs. Tremblay: How can the Prime Minister not be embarrassed by the fact that even in Ottawa, the nation's capital, 26 years after the Official Languages Act was passed, one out of three times a francophone requests a service, he or she cannot get it in French?