Au pire — et, malheureusement, les médias nous informent tous les jours d’un nombre croissant d’incidents désolants —, le programme fait baisser les salaires et évince des travailleurs canadiens, même dans les régions où les taux de chômage sont déjà élevés, tout en ouvrant la porte à l’exploitation d’étrangers vulnérables.
At its worst, and sadly, with every passing day we hear more and more of these worst-case scenarios, the program drives down wages and displaces Canadian workers, even in regions already facing high unemployment, while exploiting vulnerable people from abroad.