Ce « côté sombre » de la vie urbaine pour de nombreux Autochtones constitue, comme un commentateur l’a remarqué, « non seulement une tragédie pour ceux qui la vivent, mais menace aussi le tissu social et le civisme des villes où les Autochtones sont présents en nombre relativement élevé ou en grand nombre »([15]).
This “dark underside” of city life for many Aboriginal people, as one commentator notes, represents “not only a tragedy for those who live it, but threatens the social fabric and the civility of the cities where Aboriginal populations are relatively or absolutely large” ([15])