Pendant ce temps, au sein de l’ONU et chez ses principaux membres partisans du contrôle, on craignait que les efforts du régime de contrôle international des stupéfiants en vue de combattre
le trafic illicite soient compromis du fait que certains États n’avaient pas adhéré aux Conventions ou n’avaient pas de système national de répression criminelle leur perm
ettant de combattre adéquatement le trafic illicite des drogues.[91] En 1984, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution 39/141, appelant le Conseil économique
...[+++]et social à demander à la Commission des stupéfiants de préparer « à titre de priorité » une convention préliminaire envisageant [Traduction] « les diverses facettes du problème [du trafic illicite des drogues] dans sa totalité et, en particulier, les facettes qui ne sont pas abordées dans les instruments internationaux existants ».Meanwhile, concerns arose within the UN and among its main control-oriented members that the anti-trafficking efforts of the international drug control system were being compromised by the fact that certain nations were not Parties to the Conventions or did not have domestic law enforcement systems capable of properly combating illicit trafficking.[91] In 1984, the UN General Assembly adopted resolution 39/141, which called on ECOSOC to instruct the CND to prepare “as a matter of priority” a draft
convention considering “the various aspects of the problem [of illicit drug trafficking] as a whole and, in particular, those not envisaged in
...[+++] existing international instruments”.