Au Canada, les programmes de traitement ont tendance à considérer les dépendances comme un phénomène bio-psychosocial mais « on continue toutefois, dans certains secteurs de services, d’appuyer les différentes versions du traitement fondé sur la notion que
l’alcoolisme et la toxicomanie sont des maladies ».[2] Il est d’ailleurs intéressant de noter que les programmes de réadaptat
ion pour alcoolisme seraient plus nombreux (51 %) que les programmes pour « toxicomanie » (47 %) à admettre une stratégie de réduction des méfaits et donc des
...[+++] objectifs autres que ceux de l’abstinence.[3]Treatment programs in Canada tend to regard dependency as a bio-psychosocial phenomenon; “[h]owever, support for the various modifications of the disease model continues in some service sectors”.[2] It is interesting to note that more rehabilitation programs for alcoholism (51%) than programs for ‘addiction’ (47%) accept a harm-reduction strategy and thus objectives other than abstinence.[3]