En effet, tout le monde s’accorde à reconnaître désormais que les 360 millions d’euros, demandés pour l’année 2000 en faveur du Kosovo, représentent une somme, une manne pour certains, que cette région de l’ex-Yougoslavie, où se meuvent des forces centrifuges sans cesse croissantes, n’est pas du tout en mesure d’assimiler.
In fact everyone now agrees in acknowledging that the EUR 360 million sought for Kosovo for the year 2000 represents a sum, a godsend for some people, that this region of former Yugoslavia, with ever-growing centrifugal forces at work, is in no position to assimilate.