Le problème que l'on constate actuellement est la crainte de voir éventuellement un marchandage entre les deux productions, c'est-à-dire la production de grain et les productions d'oeufs, de lait, de volaille au Québec, lors de négociations avec les États-Unis. Actuellem
ent, les États-Unis imposent des limites à l'importation de grain canadien, et le gouvernement du Canada pourrait fort bien, en échange d'une ouverture plus grande du marché américain, au niveau du g
rain canadien, être tenté de réduire les tarif
s qui ...[+++]seront imposés sur les produits agricoles québécois, en remplacement des quotas.