Des témoins du Nunavik, dans le nord québécois, ont attiré notre attention sur le fait
que : les Inuits de cette région n’ont pas réussi à obtenir un permis de pêche du poisson de fond, dans le cadre de leur processus de revendications terri
toriales; la seule solution qui s’offre est l’achat de permis existants; enfin, le quota de flétan noir du Nunavik, dans la division 0B, n’est que de 140 tonnes, soit 2,5 p. 100 du TAC, malgré le fait que ce territoire a contribué à développer la pêche dans les eaux nordiques dès 1985 (division 2
...[+++]G).