Tous les criminologues conviennent aujourd’hui que les causes sont avant tout sociales : la grande pauvreté, le chômage, les inégalités sociales, la promotion de la concurrence intensive et de la poursuite du profit maximal que la classe dirigeante mondiale s’évertue à imposer comme idéal suprême, alimentent, entre autres, la criminalité.
Every modern criminologist agrees that the causes are primarily social: poverty, unemployment, social inequality, the promotion of rampant competition and the quest for maximum profit, which today’s world order hopes to impose as the ultimate ideal, all foster crime.