Pendant l'Uruguay Rou
nd, les pays qui ne soutiennent pas beaucoup, ou pas du tout, leur secteur agricole disaient: «Cette idée de " feux de circulation" fonctionne peut-être bien pour les grands pays qui ont un Trésor bien garni, mais est-ce qu'il ne faudrait pas réduire toutes les mesures de soutien à l'agriculture?» Ce à quoi les grands pays ont répondu, évidemment: «La politique intérieure est telle que, même si nous serions peut-être prêts à accepter l'imposition de sanctions pour les subventions qui ont un effet de distorsion sur le commerce, la communauté internationale n'a pas à s'immiscer dans les autres formes de soutien que no
...[+++]us accordons».
In the Uruguay Round, those countries who give little or no financial support to their agriculture sectors were saying, " Look, this traffic light approach might work fine for the big countries that have big treasuries, but should not all support to agriculture be reduced?" Of course, the answer they got from the bigger countries was, " Look, domestic politics are such that while we might be prepared to accept disciplines on trade-distorting subsidies, it is none of the international community's business how much support we provided on the green" .