C’est un fait confirmé par les chiffres: alors que nous dépensions il y a quelques décennies 40% de nos revenus à l’alimentation, nous en sommes aujourd’hui à environ 14%. La production alimentaire n’a donc rien d’un fatras superflu et les agriculteurs produisent et entretiennent le paysage rural avec le soutien de l’UE, probablement à un coût de loin inférieur à celui des fermes urbaines.
There are hard figures indicating that those who, decades ago, spent 40% of income on food, now spend approximately 14%, so foodstuffs are not surplus junk and, with EU support, the farmers produce them and look after the countryside perhaps even far more cheaply than municipal farms could do it.