La possibilité, plus particulièrement, d'utiliser le profil d'ADN dérivé des substances corporelles d'une personne disparue ou d'un de ses proches, même avec son consentement, pour le comparer aux données du fichier criminalistique ou du fichier des condamnés soulèverait probablement d'importantes préoccupations en matière de protection des renseignements personnels. Le projet de lo
i C-240 propose que soient comparées deux ou peut-être trois collections de profils provenant de restes humains non identifiés, de biens personnels ayant appartenu à la personne disparue ou de proches de celle-ci avec les fichiers judiciaires déjà versés dans
...[+++]la Banque nationale de données génétiques.Bill C-240 proposes that two or possibly three collections of profiles from the unidentified human remains, from the missing person's personal property, and from family members should be cross-checked against the criminal indices already contained in the National DNA Data Bank.