La Loi sur la citoyenneté canadienne a réalisé ce pouvoir parce que, de l'avis de Martin, elle s'appuyait sur un sentiment nationaliste des plus sincères, un sentiment qui a poussé les Canadiens à créer une nationalité qui n'était pas fondée sur le sang et l'ethnie, mais bien sur les droits et obligations, une citoyenneté accueillante et inclusive plutôt que peu engageante et exclusive, une société qui a su résister et s'enraciner dans notre pays au cours des 64 dernières années.
The Canadian Citizenship Act exerted this power because, in Martin's view, it was " pressed forward by the best sort of nationalist feeling," a feeling that inspired Canadians to create a citizenship not based on blood and tribe but on rights and obligations; a citizenship that embraces and includes rather than rejects and excludes; a citizenship that has endured and deepened in our country for the past 64 years.