Malheureusement, le Canada parle de ces fusions comme si elles étaient la seule chose qui comptait réellement dans le secteur des services financiers, un secteur qui emploie 500 000 personnes et pèse 5 p. 100 du PIB, alors que le statu quo n'est tout simplement pas une option, que cela nous plaise ou non.
Unfortunately, Canada is talking about these mergers as if they are the only things that really matter to the financial services sector, that a sector that employs 500,000 people is responsible for 5% of the GDP, and that whether we like it or not, the status quo simply is not an option.