En effet, dans un contexte de mondialisation où des décisions sont prises au niveau multilatéral, ayant pour effet de l'affecter directement, quoi de plus normal et même logique que le gouvernement du Québec réclame le droit de parler de sa propre voix sur la scène internationale quand il s'agit de questions relevant de ses compétences exclusives.
In a context of globalization, where decisions are multilateral and liable to affect it directly, what could be more normal and logical than for the Government of Quebec to demand the right to speak for itself in international forums when matters under its exclusive jurisdiction are involved?