Si Facebook, l’internet et Twitter sont devenus les moyens modernes de faire la révolution, ils ne remplacent pas les structures démocratiques et l’état de droit qui doivent être établis en coulisse pour qu’une révolution soit capable d’assurer la transition vers un système démocratique.
Although Facebook, the Internet and Twitter are the modern means of driving a revolution, they do not replace the democratic structures and the rule of law that need to be in place behind the scenes for a revolution to be able to make the transition into a democratic system.