Lors de la visite qu’ils ont effectuée récemment en Grèce afin d’évaluer la mise en œuvre du mémorandum signé par la Grèce, l’Union européenne et le Fonds monétaire international, des cadres de la Commission ont dema
ndé au gouvernement grec la privatisation de 40 % des centrales au lignite et des centrales hydroélectriques de l’Entreprise publique d’électricité (DEI), ainsi que la séparation
de la propriété du réseau d’acheminement de l’électricité, au prétexte de la «mise en œuvre intégrale des projets de libéralisation du marché d
e gros de ...[+++]l’énergie électrique» et du «lancement du processus de rationalisation de la facturation aux consommateurs».