Le modèle que nous envisageons concernant les avantages qui résulteraient de la répartition 50-50 de ce que j'appellerai les «excédents» entre les réductions fiscales et la réduction de la dette, donne des résultats remarquables: même selon des estimations très prudentes, on obtiendrait 42 milliards de dollars en réductions d'impôt et 42 milliards de dollars de réduction de la dette sur 10 ans.
Our vision of what could be, a model of the benefits that would result if what I'll refer to as “surpluses” would be split 50-50 between tax cuts and debt reduction, produces outstanding results: even in very conservative estimates, $42 billion in tax cuts and $42 billion in debt reduction over 10 years.