Le summum du ridicule dans la version [du ministre de la Justice], c'est la raison pour laquelle on a fait disparaître les sanctions pour les récidivistes, soi-disant parce que les services de police du pays n'ont pas de systèmes leur permettant de déterminer si le contrevenant en est à sa première, à sa deuxième ou sa troisième infraction.
The ultimate ridiculousness of [the justice minister's] version was the reason for removing the penalties for repeat offenders, “because the police across this country don't have tracing and tracking records so we know if it was a first, second or third tracking offence“.