Le 2 juillet, s’adressant devant le Parlement européen au nom de la présidence italienne, le premier ministre Silvio Berlusconi a reconnu que les États membres de la zone euro ne disposaient plus d’outils de politique financière et monétaire leur permettant de lutter contre la récession et que, dans ces conditions, des "mesures européennes" étaient requises, ainsi qu’une politique financière européenne active et des mesures de la Banque européenne d’investissement.
On 2 July, speaking on behalf of the Italian Presidency, Prime Minister Silvio Berlusconi admitted in the European Parliament that the members of the Euro zone no longer had any financial and monetary means of combating recessions and that instead there was a need for ‘European measures’, an active European financial policy and measures by the European Investment Bank.