La Cour reconnaît que les régimes de réalignement prévus par les lois n° 342/00 et n° 448/01, permettaient de reconnaître les plus-values réalisées en contrepartie du paiement d'un impôt de substitution uniforme pour toutes les entreprises et pouvaient être considérées comme des mesures fiscales générales, justifiées par la logique du système fiscal italien.
The Court acknowledges that the realignment schemes provided for in Laws 342/00 and 448/01 enabled realised gains to be recognised in consideration for payment of a substitute tax set at the same level for all the undertakings and could be considered to be general fiscal measures, justified by the inherent logic of the Italian tax system.