Comme vous l'avez souligné à juste titre, et comme l'ont dit les personnes qui défendent les droits des victimes de partout au pays, il arrive, pour certaines personnes, que ce ne soit jamais fini — il y a la déclaration de culpabilité puis la série d'appels que permet notre système, ce que tout le monde approuve — elles doivent constamment revivre le crime.
As you correctly pointed out, and as I have heard from victims' advocates from across this country, after the conviction and the series of appeals that are part of our system, which everyone recognizes, for some people it never ends; they continuously have to relive this.