Malheureusement, les russophones en Estonie ainsi qu’en Lettonie étaient des espèces de prisonniers de la première Guerre froide, dans la mesure où leurs droits de citoyens leur étaient refusés et dans la mesure où leur langue n’était pas reconnue comme langue officielle dans les pays où ils représentaient pourtant une minorité substantielle.
Unfortunately, Russian speakers in Estonia as well as in Latvia were so-called prisoners of the first Cold War by being denied their citizens’ rights – by being denied their language as an official language in the countries where they were a substantial minority.