Toute travailleuse du sexe qui répond au téléphone, fixe des rendez-vous pour une agence d'escorte, verrouille les portes d'un salon de massage à la fin de la soirée ou vient en aide à une autre travailleuse du sexe en lui louant son lieu fixe pourrait être criminalisée aux termes du projet de loi C-36.
Any sex worker who answers the phone, books calls for an escort agency, locks up the massage parlour at the end of the night, or helps out another sex worker by renting her in-call location, would potentially be criminalized under Bill C-36.