Mais, j'aime
rais faire quelques remarques au sujet de son intervention, puisque, comme il l'a mentionné à juste titre, ce que le député a tenté de faire pendant les
quelques minutes de son allocution, c'est de nous dire à
quel point, au Canada anglais-malgré le fait que notre collègue de Saint-Boniface refuse qu'on utilise cette expression-à
quel point on nous aimait et à
quel point on reconnaissait l'importance du fait francophone, puisqu'il a insisté sur le fait que plusieurs jeunes Canadiens et Canadiennes, maintenant, suivaient de
...[+++]s cours de langue française, ce qui est la réalité et ce qui est une bonne chose (1320) Il est également reconnu qu'au Québec, c'est l'endroit où on retrouve le plus grand nombre de personnes pouvant s'exprimer dans les deux langues, en français et en anglais.