Suite aux élections provinciales de novembre 2003, l'honorable ministre des Affaires francophones et de la Culture de l'Ontario, Madeleine Meilleur, répondait à une de mes lettres en disant qu'il n'existait pas de critère d'admissibilité pour permettre à une municipalité de devenir bilingue et que le gouvernement de l'Ontario n'avait jamais reconnu une municipalité comme étant bilingue.
Following the November 2003 provincial election, Ontario's Minister of Francophone Affairs and Culture, Madeleine Meilleur, replied to one of my letters by saying that there were no eligibility criteria to allow a city to become bilingual and that the Government of Ontario had never recognized a municipality as being bilingual.