S'il faut traiter sans tarder cette question, c'est notamment parce que, comme le soutient l'Organisation mondiale de la santé, «le taux de mortalité des filles et des femmes victimes de ces pratiques est probablement élevé, mais il existe peu de dossiers sur la question et les décès sont rarement signalés».
One of the reasons that this issue is treated with urgency is, as the World Health Organization states, " the mortality of girls and women undergoing these practices is probably high, but few records are kept, and deaths due to FGM are rarely reported" .