Ce point politique était bien entendu inacceptable par la commission économique et monétaire et par le Parlement européen et nous a amenés à notre tour à demander à la Commi
ssion de bénéficier également d'un "call back" à travers notre résolution du 5 février 2002, demande à laquelle a répondu le Président de la Commission, M. Prodi, en séance plénière, sous la forme d'une déclaration solennelle en indiquant
que la Commission s'efforcerait de tenir "le plus grand compte de la position du Parlement et des résolutions qu'il pourrait ado
...[+++]pter à propos de mesures d'exécution qui excéderaient les compétences prévues dans l'acte de base".
This political situation was, of course, considered unacceptable by the Committee on Economic and Monetary Affairs and by the European Parliament, leading us to call in turn on the Commission, in our resolution of 5 February 2002, to likewise grant us a right of call back. The Commission President, Mr Prodi, responded to this request with a solemn declaration before the plenary affirming that the Commission would take 'the utmost account of Parliament’s position and any resolutions that it might adopt with regard to implementing measures exceeding the implementing powers provided for in the basic instrument'.