Mais dans son discours de Verdun, il a dit que si les Québécois votaient pour le non, ils pourraient gagner des concessions constitutionnelles et qu'il n'y avait pas de risque s'ils votaient pour le oui, parce que la séparation n'allait jamais se faire.
In his speech in Verdun, the Prime Minister said that if Quebecers were to vote No, they would get some constitutional concessions, and that a Yes vote would not be dangerous since separation would never occur.