Concrètement, à la suite de la crise, la seule solution que nous ayons été capables de construire a consisté à prescrire l’austérité, et ce sont les travailleurs et les entreprises qui paient maintenant les déficits engendrés par la crise spéculative du secteur financier, pour le sauvetage duquel l’Union européenne s’est engagée à hauteur de 26 % de sa richesse.
In practice, following the crisis, the only solution that we were able to construct was to prescribe austerity, and it is working people and companies that are now paying for the deficits created by the speculative crisis of the financial sector, to the salvation of which the European Union has committed 26% of its wealth.