Dans sa réponse au cinquante et unième rapport, déposée le 7 mai 1999 (Journaux, p. 1839, document parlementaire n 8512-361-131), le gouvernement s’est dit d’avis que « la proposition de n’invoquer que rarement le principe de la confiance pour les questions de crédits ne serait pas conforme à notre tradition et serait extrêmement difficile à mettre en œuvre». )
In its response to the Fifty-First Report, tabled on May 7, 1999 (Journals, p. 1839, Sessional Paper No. 8512-361-131), the government expressed the view that “the proposal to use confidence sparingly on supply matters would not be in keeping with our tradition and would be extremely difficult to implement”.)