Je suis toutefois quelque peu désabusé quand j’entends que l’on se réfère à la Commission des droits de l’homme des Nations unies, dont la composition actuelle comprend l’Arabie saoudite, qui décapite sur la plac
e publique des gens coupables de délits liés à la drogue ou l’alcool, Cuba, qui, l’an dernier, a exécuté trois personnes au motif qu’elles avaient tenté de fuir le pays à bord d’un bateau pris en otage et emprisonne les dissidents politiques, et le Zimbabwe, qui est une dictature dans laquelle la liberté de
la presse ...[+++] n’existe plus et des personnes sont soumises à la torture et à des arrestations arbitraires.
I am, however, a little cynical when I see references to the UN Human Rights Commission, whose current membership includes Saudi Arabia, which publicly beheads people for drug and alcohol offences; Cuba, which executed three people last year for attempting to flee the country in a hijacked ferry and locks up political dissidents, and Zimbabwe, which is a dictatorship in which press freedom is suppressed and people are subject to arbitrary arrest and torture.