Le rapport Rowell-Sirois a jeté les bases de la péréquation canadienne, avec un beau rêve canadien pour certains d'entre vous qui n'est plus le mien ni celui de mes collègues, en disant ceci: «La base même du fédéralisme doit être une juste répartition de la richesse entre les provinces canadiennes» (1900) Le rôle de la péréquation c'est d'en arriver à ce que même les provinces les plus démunies, les moins bien nanties -et ça ce sont les principes du fédéralisme fiscal, ce n'est pas moi qui le dit ou qui l'ai inventé, ça part de Rowell-Sirois et des autr
es rapports qui ont suivi-puissent tirer suffisamment ...[+++]de recettes, incluant les montants de la péréquation versés par le fédéral, pour offrir des services publics de qualité à peu près uniforme ou équivalente entre elles.
It said that the redistribution of wealth among all Canadian provinces was the cornerstone of federalism (1900) The aim of equalization is to make sure that even the poorest provinces, the have-not provinces-these are the principles of fiscal federalism, I did not invent them, they stem from the Rowell-Sirois report and subsequent ones-are in a position to have sufficient revenues, including equalization payments from the federal government, to deliver approximately the same level of quality public services as the other provinces.