Comme la situation relative à la décision Waldman rendue récemment contre le Canada par le Comité des droits de l'homme des Nations Unies l'a amplement démontré, il n'existe certainement aucun mécanisme de pression pour forcer l'un ou l'autre des ordres de gouvernement à respecter ses engagements.[21] Même si, au cours des dernières années, des organisations non gouvernementales ont été consultées dans le cadre de la préparation des rapports déposés par le Canada devant les organismes de surveillance créés par les traités, il ne s'agit pas d'un processus transparent auquel le grand public a accès.
As the situation with regard to the recent Waldman decision against Canada by the United Nations Human Rights Committee has demonstrated, there is certainly no mechanism for pressuring either level of government to live up to its commitments.[21] While non-governmental organizations have, in recent years, been consulted during the preparation of Canada’s reports to the treaty bodies, this is not a transparent process to which the general public has access.